Aller au contenu principal

PERSICO SIMON

PROFESSEUR DES UNIVERSITES

Domaines de recherche

  • Opinion Publique - Citoyenneté
  • Politiques publiques - Régulation
  • Politique comparée
  • Études électorales

Structure(s) de rattachement

PACTE

Responsabilités


  • Membre du Directoire du Laboratoire Pacte

Cours

  • Sc. politique

Programmes et contrats en cours

  • Groupe d'étude sur l'écologie politique (AFSP)

Publications

Notice d’encyclopédie ou de dictionnaire

  • Adrien Estève ,
  • Sylvie Ollitrault ,
  • Amandine Orsini Bled ,
  • Simon Persico ,
  • Bruno Villalba ,
  • Mathilde Allain
Date de la publication : 17/10/2025

Chapitre d'ouvrage

  • Malo Jan ,
  • Simon Persico
Date de la publication : 17/10/2025

Ouvrages

  • Adrien Estève ,
  • Sylvie Ollitrault ,
  • Amandine Bled Orsini ,
  • Simon Persico ,
  • Bruno Villalba ,
  • Mathilde Allain
Date de la publication : 17/10/2025

À travers plus d'une centaine d'entrées rédigées par près de 150 chercheuses et chercheurs, ce dictionnaire témoigne de la richesse des travaux consacrés à l'écologie politique et de leur pertinence pour décrypter les transformations contemporaines de nos sociétés. De « Agriculture » à « Zone de sacrifice », il expose la pluralité des concepts, idées et résultats développés par la science politique et les disciplines connexes pour penser les relations entre les humains et leur environnement, montrer leurs évolutions et leurs conséquences politiques. Dévoilant la vivacité des débats scientifiques bien souvent en lien avec les enjeux sociaux et politiques, il contribue à élargir l'espace de la réflexion sur l'écologie alors que nous entrons dans une période d'incertitudes radicales sur les effets des crises environnementales.

Communication dans un congrès

  • Sylvie Ollitrault ,
  • Adrien Estève ,
  • Bruno Villalba ,
  • Mathilde Allain ,
  • Simon Persico ,
  • Amandine Orsini ,
  • Lucile Maertens
Date de la publication : 02/07/2024

La ST souhaite explorer les conséquences de la prise en considération des enjeux écologiques dans nos systèmes politiques contemporains, grâce aux ressources méthodologiques et théoriques de la science politique. Deux dimensions seront ainsi privilégiées. La première examinera la dimension épistémologique. En quoi l’environnement, par ses caractéristiques spécifiques, interroge-t-il les conditions de la construction de l’enquête sociologique ? La seconde porte plus directement sur ce que l’écologie fait aux acteurs institutionnels. Comment les acteurs classiques de l’analyse politique se transforment par l’irruption et la gestion des contraintes écologiques ? Axe 1 : Étudier l’écologie. Interactions et enjeux épistémologiques. La séance souhaite interroger les effets de rétroaction engendrée par la nature même de l’objet “écologie”. Au-delà des méthodes routinisées des sciences sociales, la complexité des interactions mondes sociaux/mondes non-humains soulève-t-elle d’autres questions épistémologiques ? Quelle spécificité de l’approche méthodologique en écologie politique ? Pour aborder ces questions, le GREP a souhaité cadrer la séance autour de deux questions, notamment abordées par le travail de thèse de certains doctorant·es. La première porte sur les conditions d’accès aux terrains. Les mobilisations environnementales connaissent une recrudescence, tant dans leur régimes discursifs (comme l’urgence existentielle) que dans les répertoires d’action utilisés (de la désobéissance à la violence, le l’hyperlocalisation à la transnationalisation…), mais aussi dans les conditions de leur traitement politique et juridique. Il s’agira d’explorer les effets que les crispations des enjeux écologiques produisent sur les enquêtes de terrain (fermetures d’accès, cooptation…) : est-ce que la cause écologique est en soi une condition de difficultés d’accès au terrain ? La seconde interroge les conditions de sécurisation de l’activité de la recherche. En effet, les mobilisations écologistes font l’objet d’une juridicisation intensive (contrôle administratif, pratiques répressives…). De ce fait, l’enquêteur est confronté à des difficultés d’accès aux terrains mais aussi de sécurisation de ses données d’enquête, de la protection de ses sources, de la sécurisation des acteurs rencontrés, etc. Cela interroge aussi les conditions de publicisation des résultats obtenus (certification, vérification…). Le GREP souhaite ainsi contribuer à une réflexion collective – au-delà de la seule question écologique – sur les conditions de gestion des situations conflictuelles dans l’étude de certains terrains. Cela permettra de clarifier les conditions de protection de la recherche sur le plan institutionnel (protection de son institution, ordre de mission…) Axe 2 : Ce que l’écologie fait aux acteurs institutionnels. Cette optique a fait déjà l’objet d’interrogations (comme le processus de climatisation par exemple, les propositions portées par les sustainability transitions…). L’atelier souhaite renforcer et préciser certains effets de cette relation complexe. Il sera plus particulièrement question d’interroger les effets de cadrage réalisé par les acteurs qui participent à l’institutionnalisation de cet objet. On pourra ainsi présenter différentes stratégies d’adaptation/reformulation/ajustement des enjeux écologiques en fonction des référentiels théoriques et des pratiques professionnelles des acteurs concernés. Certaines dimensions pourront ainsi être privilégiées, comme le rapport à l’État/ rapport aux forces de l’ordre (dans la désignation des formes d’intervention légitime de l’écologie politique) ou dans l’évolution des arguments de cadrage (rapport au droit, diversification des causes mobilisées, Écologie et régimes internationaux…).

Ouvrages

  • Vincent Tiberj ,
  • Kevin Brookes ,
  • Amaïa Courty ,
  • Anja Durovic ,
  • Tristan Haute ,
  • Romain Mespoulet ,
  • Simon Persico ,
  • Max-Valentin Robert
Date de la publication : 15/05/2024